Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

I wish you were here

Publié le 13 Août 2013 par Lunes

I wish you were here
Le manque peux s'avérer plus compliqué à gérer que ce que l'on ne pense. On l'éprouve mieux que la tristesse sauf que, ces deux sentiments sont tellement proche qu'ils s'associent très souvent. La subtilité de tels sentiments c'est qu'ils ne montrent qu'après un certain point. Comme des étapes, il y a le manque de tous les jours, qui n'est pas tellement important vu que généralement on n'y pense pas. Il y celui que l'on attend pendant l'année (par ex une fête) mais qui n'occupe pas toutes nos pensées et puis il y le manque maladif. C'est de ce manque là dont je voudrais parler. Il est comparable à une obsession, une addiction même. Il n'est peut être pas aussi dangereux pour la santé mais le mal est tout autant éprouvé. Quand on s’endort on y pense, et quand on se lève l'envie est toujours là. Ça peut être un lieux, un objet mais le pire est le manque d'une personne ou de son affection. Car elle peut être tellement proche mais paraître si loin et au contraire quand elle est horriblement loin on a envie qu'elle soit juste à côté de nous. Notre meilleur ami n'est point notre voisin. Et je parle de ça pour tout, l'amitié, l'amour et même la haine. Bien sur, on peux y remédier mais l'espoir d'aimer de loin en attendant l'autre n'est pas la meilleure solution. Tout dépend de la distance. Tout dépend de l'affection qu'on porte à la personne. "Le bonheur c'est tout ce qui arrive entre deux emmerdements" (J.B Lafond) Mais tant qu'on y crois, les emmerdements seront toujours plus doux. Et la distance un obstacle moindre. Il vaux mieux vivre son bonheur en sachant qu'il ne durera pas éternellement plutôt que de ne pas le vivre du tout. Sinon, on s'enferme dans une bulle trop réaliste et fade de sentiments. Le manque est une des choses qui nous font avancer et qui, sans lui, la vie serait bien trop facile.
Bisous bisous xo xo
*Louloute*
Commenter cet article