Ceci est un texte de fiction, sortit de ma tête. N'hésiter pas à partager ;-)
Il fait souvent noir, là où je suis.
Je ne sais jamais quand il fait jour, je crois que c'est parce que c'est l'hiver.
J'vais plus à l'école, et ça me rend triste. J'aimais bien le maîtresse moi, quand elle nous lisait des histoires ou quand elle nous donnait des bonbons quand on répondait juste.
Elle était jolie, la maîtresse.
Mais pas autant que maman.
On m'a dit qu'elle reviendrait bientôt, ma maman !
Mais en attendant je fais ce que les Monsieur me demande de faire. Parce que quand on le fait pas, on est puni. Ça m'es jamais arrivé mais on m'a raconté que c'était vraiment pas chouette.
Comme quand tu peut pas sortir jouer au ballon.
Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là, j'crois que j'ai fais cinq ou six dodo depuis que maman est partie.
Tu sais ici il y a pas beaucoup d'enfants qui me parle .. J'aimerais bien me faire des amis, moi.
En plus ils se moque de moi, parce qu'ils disent que tu es "imaginaire".
Ça veut dire quoi imaginaire ?
Maman m'aurait expliquer mais elle est pas encore rentrée ...
Hier, y'a un gardien qui m'a demandé d'enlever mon pantalon.
J'ai pas compris au début mais quand je lui ai dis non il m'a fait mal.
Alors j'ai dis oui.
Et j'ai baisser mon pantalon.
Je ne sais pas pourquoi mais les garçons qui sont dans le même dortoirs que moi sont pas revenu de leur douche. Mais leurs vêtements sont toujours sur le lit. Peut-être qu'il y a plus d'eau chaude ?
Moi, j'aime bien avoir un ami imaginaire. Au moins je suis pas tout seul.
Ah ! Les gardiens nous appellent pour prendre une douche. Mais les autres ne sont toujours pas revenus ...
Cela fait un petit temps que je n’ai plus écris … Je n’avais simplement plus d’inspiration alors pour ne pas dire n’importe quoi, j’ai juste omis de continuer mon blog.
Mais, ça m’est venu d’un seul coup. Sans prévenir. J’avais envie de de nouveaux écrire, de partager de nouvelles idées. De parler de ce qui me semble important. Je pense qu’un blog vis en fonction de la personne qui le tient, et même si ma vie est loin d’être passionnante je crois que j’aime parler de ce que je vis, de me dire que je ne suis pas la seule à la vivre et de me rappeler qu’il y a bien pire qu’être adolescente.
Aujourd’hui je ne parle plus de mon père, je n’en plus le courage. Ils sont bien trop compliqués que pour taper des discours interminables sur ce qu’ils pensent, ce qu’ils disent ou ce qu’ils font.
Non, cette fois je veux parler de nous, enfin de l’adolescence quoi. De ce qu’il se passe dans notre petite tête que les adultes ne comprennent pas. Les extrêmes de nos sentiments, les hauts et les bas qui arrivent et partent tout aussi vite. De pourquoi un jour on voit la vie en rose et que le lendemain tout nous parait noir.
Je pense que tout le monde se pose des questions, que tout le monde se demande pourquoi il est différent ou pourquoi il ne l’est pas. Il y en a qui veulent rentrer dans le petit moule qu’a créé notre société et il y a ceux qui font tout pour en sortir mais dans les deux cas, ce n’est jamais bon. Nous sommes de toute façon susceptibles de subir les moqueries des autres. Et même si certains arrivent à passer au-dessus, il reste les âmes perdue qui eux ne savent pas le surmonter.
Alors, c’est ça l’adolescence ? Un amas de douleurs.
Pas que, heureusement. Parce que quand on n’est pas au fond du fond, on est au-dessus des étoiles. On croit voler parce que tout vas bien, parce que la vie nous parait si simple que l’on ne soucie pas de ce que peuvent penser les autres.
On rêve, on s’enferme, on sait qu’on fond de chacun de nous il y a des milliers de combats qui s’enflamment et pourtant, tout le monde se tait. Tout ce que nous vivons forge notre caractère. On ne garde en mémoire que les bavures, de vieilles histoires, de vieilles rancunes. Qui rendent nos joies dérisoires. Nous font vivre des journées obscures, créant notre armure.
Et puis il y les moments qui pourraient durer à l’infini. Les fous rires, les souvenirs. Les délires entre amis, les coups de foudre d’un jour ou d’un été qui finalement se frayent un chemin dans notre passé.
Alors voilà, pour moi c’est tout cela l’adolescence.
On me demande souvent de me taire, de ne plus exister. Implicitement, tout est fait pour que l’on soit effacé, soumis à certaines règles, certaines habitudes. Tout est calculé, décider à notre place. On n’a pas le choix. Certains résistent, d’autre pas. Chacun son combat. La loi du plus fort est toujours là, impliquée d’une manière différente. Certaines choses font que, l’un ou l’autre à plus facile. Mais ici, où tout est misère ou fortune, où tout ce qui brille est fait de toc, comment peut ont être différent ? Le mot « rebelle » est si petit face à ça. On ne sait rien en sachant tout, on veut tout avoir vite, sans réfléchir pourquoi. On possède mille choses inutiles qui pourtant, elles sont chère à nos yeux. Comment se rebeller quand la terre en entière croit être rebelle ?
Moi, minuscule petite chose qui ne peux rien faire face au temps, comme tout être, une vie trop courte pour changer le mal en bien. Qui voudrait être un héros qui pourrait être oublié le siècle d’après ? Tant d’efforts pour si peu. Profitant de la jeunesse, on ne pense pas à ces choses-là. Parce que l’on en n’a pas envie. Qui a envie de se tracasser du futur quand on peut juste penser à des bêtises qui n’affecte rien autour de nous ? Après tout que peux ont changé ?
Peut-être que je me pose trop de questions, que je réfléchis à trop de choses que je ne pourrais de toutes façon pas changer. Sûrement parce qu’il m’entoure ne me suffit plus, les cours, les amis, les amours. C’est bien mais ensuite ? Toute notre vie se résumerait à des relations qui commence et se finissent, qui se compliquent ou se brise à cause d’erreurs. Pourquoi pas, vu que le choix ne dépend pas que de nous, je vais me laisser vivre. Façon de parler.
Comme je dis bien souvent, arrêtons de nous prendre la tête, l’énervement ne mène à rien. Soyons jeunes et heureux et puis c’est tout. Rentrons dans le cercle puisque, de toute façon, si on en sort, on est jugé, critiqué et même rejeté. Eh bien moi je dis non. Non à la normalité. Qui peux choisir de ce qui est normal ou pas ? Qui aurait le droit de choisir à notre place ? Moi je vous le dis : Personne. Vous et seulement vous choisissez de vous donner les moyens d’être heureux ou pas, d’être « normal » ou pas, de vouloir changer ce qui ne vas pas ou de rester scotché à des relations inutiles. Je m’éparpille un peu trop je pense ^^’ Bha c’est mon blog, mon article alors tant pis, le ridicule ne tue pas.
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Le titre veut évidemment tout dire. Ce sentiment que l'Homme à idiotement créer : la contradiction. Cette envie d'avoir quelque chose que l'on a pas puis, quand on l'obtient, de ne plus en avoir rien à faire. On convoite toujours ce que le voisin possède mais en même temps cette contradiction nous empêche de le prendre. Je sais ce que c'est, ne pas savoir choisir, ou quand le choix est fait, décider de faire exactement le contraire. Prenons un exemple concret: les mecs. Il nous plaît, c'est réciproque, mais juste pour compliqué les choses, vous dites non. Pourquoi ? Allez savoir ! Lui évidemment ne vous lâche pas. Il essaye de vous persuadez que ça peux fonctionner. En toute logique, vous pouvez faire en sorte qu'il ne vous parle plus, couper les ponts comme ont dis. Mais vous ne le faites pas. Parce que au fond de vous, vous ne voulez pas qu'il arrête. Puis, quand lui aura tourner la page, vous allez lui courir après sans relâche. Un cercle infini du jeu du chat et de la souris. L'Humain est débile quand même. Le pire c'est qu'il n'existe pas de solutions ou en tout cas, je ne suis pas au courant. Je n'ai donc pas de conseils à vous donnez à part d'avoir confiance en vous et de ne pas trop vous prendre la tête non plus. La vie est trop courte ! ;-)
Après 45 jours d'absence totale je vous dois bien une explicitation, et bien elle n'est pas si simple que ça. Je n'avais plus le courage ni l'envie d'écrire. J'ai essayer mille fois pourtant mais la page était toujours blanche. Pour compenser j'ai énormément dessiner mais pour faire court l'imagination me manquait et comme beaucoup de gens je pense que j'ai eu une panne d'écriture. Mais d'un seul coup, sans prévenir, j'ai retrouvé ce plaisir. Je l'avoue je me suis arrangée pour que ça tombe un jour de fête mais après tout, ça ne change rien. Ce come-back n'est peut être pas extraordinaire, il ne porte aucun thème, mais au moins je ne vous mens pas. Je ne vous sort pas des excuses débiles pour prouver que ce n'était pas ma faute. Oui, c'est moi qui est décider d'arrêter et c'est encore moi qui est décider de reprendre. C'est mon blog quand même ! Alors voilà, mon retour ce fait le jour d'Halloween et je vous assure que j'ai énormément d'idées qui pour une fois ne tournent pas autour de mon paternel. Celui-là il est loin, très loin. Un peu comme Sentinelle .. Enfin bref, aujourd'hui éclater vous, faites-vous une face affreuse et ne vous préoccupez pas du reste ;-)
Ça y est, l'été est fini ! Toutes les bonnes choses ont une fin, et c'est l'occasion de prendre un nouveau départ. Je sais, c'est très cliché ce que je viens de dire. Mais en même temps, qu'y a t'il à dire de plus ? On s'éclate avec les amis qui nous ont tant manqué, on tags déjà nos nouvelles fardes, et on meure d'envie d'être dans la même classe que nos amis. Logique, c'est ce que tout le monde veux. Mais il y aussi surtout que l'été nous à changé. Ou pas, mais dans tous les cas cette année ne seras pas la même que la précédente et c'est tout le temps comme ça ! Encore heureux, sinon ont s'ennuieraient comme des rats morts. Nos amis aussi changent, et ils arrive qu'ils ne soient plus aussi proches de vous qu'avant alors vous vous concentrez sur ceux qui compte vraiment pour vous. Il faut savoir faire la pare des choses et pas qu'en amitié. Il ne faut surtout pas avoir peur de révéler ses sentiments mais je ne parle pas du mec que tu trouvais mignon dans la cour, je parle de vrais sentiments. Ceux qui pourrait blesser mais qu'il faut bien avouer. Mais n'oubliez pas, la rentrée c'est fait pour s'amuser, déconner et pouvoir recommencer ce que l'on a rater. Restez fixer sur le plus important et soyez zen, la vie est belle <3
Encore un article sur la paternité. Mais il y a tellement à dire sur les sentiments que l'on éprouve quand votre super héro d'enfance n'est qu'en fait, l'ombre de lui-même. On se trouve des excuses sur le fait qu'il nous oublie, "ce n'est pas de sa faute". "Il est fort occupé". Et bien moi j'ai dépassé ce stade. J'ai ouvert les yeux sur le fait que mon père n'est vraiment pas parfait. D'accord il ne m'a pas eu avec un manuel d'instructions mais ça n'excuse pas tout. Il ne fait pas les choses convenablement. Il ne vas pas au bout des choses, et ça m'énerve. Les mamans elles ne nous délaissent que dans de rares cas, elles sont attachés à nous. Peut être que c'est le cordon ombilical, peut être qu'il reste soudé même s'il est coupé. Et si votre mère vous à aussi totalement oublié et bien ce n'est à mon avis pas très différent d'un père. On éprouve un manque, une partie de soi n'est pas complète et on lui en veux de ne pas prendre soins de ceux qui l'entoure. J'explique, j'ai beau être une ado en manque de confiance en soi il y a des choses que je n'aurai jamais oser faire à la place de mon père. Tromper. Mentir. Délaisser. Trop verbes, trois actions. Elles ne sont pas les seules, mais les principales. Les principales causes de mon amertume envers mon paternel. Et pourtant quand il est en face de moi, je n'arrive pas à lui en vouloir, parce que c'est mon père. C'est le propre de l'humain, la compassion. Se dire qu'en fait ça ne sert à rien d'être fâcher. Et puis, quand il n'est plus là, tout remonte et vous vous souvenez qu'en fait vous avez bien raison de lui prendre la tête. Il faut que ça change. Si vous aussi vos parents vous délaisse, vous mentes, ne vous laissez pas faire. Si vous les aimez vraiment et que vous ne voulez pas les perdre dites leur ce que vous ressentez et puis, quand la famille aura bien souffert mais qu'elle seras à nouveaux unie, et bien oubliez ce qu'ils ont fait comme il à oublier pleins de choses à votre égard.
On a tous besoin d'aide, à un moment, ou à un autre. On à beau avoir une fierté aussi grande qu'une planète il y a bien des situations où l'aide est indéniable ! Par exemple, il y a peine quelques jours une personne à qui je tient énormément à encore eu une mauvaise nouvelle, à croire que le destin s'acharne sur elle... Pourquoi est-ce toujours les bonnes personnes qui ont un nuage noir au dessus de leur tête? Mais ni une ni deux je lui ai remonté le moral du mieux que je pouvais, ça sert à ça les amies. "Voir la première larme, attraper la deuxième et arrêter la troisième." J'ai horreur de voir mes proches tristes ou colère, j'ai le sentiment que l'on me fait autant de mal qu'à eux.C'est pour ça que je fais tout pour qu'ils aillent bien, oui sauf que quand moi je ne suis pas au top, tout le monde n'est comme par hasard pas disponible. Alors je souris à tout le monde mais je n'en pense pas moins. Je sais faire la part des choses et tant mieux. Il vaut mieux se rendre compte que certaines personnes ne vous aiment pas autant que vous vous les aimez plutôt que de se dire naïvement que ce sont vos meilleurs amis. C'est bientôt la rentrée, alors profitez-en pour vous faire de "vrai" amis. Et si les vôtres sont fidèles et aimant, et bien ne les lâchez jamais ! L'amitié est le meilleur allié dans les moments les plus difficiles mais aussi dans les meilleurs. Surtout quand vous avez besoin d'aide. Mais pensez aussi de temps en temps à mettre votre ego de côté et à les soutenir, vos amis. Tout comme vos amours ^^ Bref, n'oubliez pas de vous éclatez malgré tout le reste, la vie est courte, alors faites en sorte qu'elle sois belle.
Ce matin, en me connectant j'ai découvert que la barre des cent visiteurs à été dépassée ! Bien sûr j'était contente, comment ne pas l'être en sachant que 100 personnes ont vus ce que vous faites, qu'ils ont suivis votre parcours. La plupart de ces personnes me connaissent et c'est peut être pour cela que je n'ai pas plus de monde, mais je vais vous dire quelque choses, je préfère avoir 100 personnes qui comprenne ce que j'écris, ce que je ressens plutôt qu'un million de visiteurs qui ne prennent même pas la peine de lire les articles. Alors je voulais vous remercié de votre fidélité <3 Je voudrais surtout dire merci à ma mère, qui m'a toujours soutenue, à toutes ses amies avec on forme une grande famille, à mes vrais amis que je n'abandonnerai jamais. Et surtout, je remercie la personne est qui ma principale source d'inspiration, mon rêveur qui sans lui le blog n'existerais peut-être pas ;-) Oui oui, c'est bien toi Sentinelle ! Mais je vous remercie vous aussi, blogueur et blogueuse. Bref, Mon blog reflète ce que je suis, ce que certains d'entre vous pourrait ressentir et c'est grâce à vous tous que je continue à écrire. 100 âmes sont passé par là, au détour d'un regard en me rendant comblée du partage que je fais. "Les péripéties d'une rêveuse" ne font que commencer.
Le manque peux s'avérer plus compliqué à gérer que ce que l'on ne pense. On l'éprouve mieux que la tristesse sauf que, ces deux sentiments sont tellement proche qu'ils s'associent très souvent. La subtilité de tels sentiments c'est qu'ils ne montrent qu'après un certain point. Comme des étapes, il y a le manque de tous les jours, qui n'est pas tellement important vu que généralement on n'y pense pas. Il y celui que l'on attend pendant l'année (par ex une fête) mais qui n'occupe pas toutes nos pensées et puis il y le manque maladif. C'est de ce manque là dont je voudrais parler. Il est comparable à une obsession, une addiction même. Il n'est peut être pas aussi dangereux pour la santé mais le mal est tout autant éprouvé. Quand on s’endort on y pense, et quand on se lève l'envie est toujours là. Ça peut être un lieux, un objet mais le pire est le manque d'une personne ou de son affection. Car elle peut être tellement proche mais paraître si loin et au contraire quand elle est horriblement loin on a envie qu'elle soit juste à côté de nous. Notre meilleur ami n'est point notre voisin. Et je parle de ça pour tout, l'amitié, l'amour et même la haine. Bien sur, on peux y remédier mais l'espoir d'aimer de loin en attendant l'autre n'est pas la meilleure solution. Tout dépend de la distance. Tout dépend de l'affection qu'on porte à la personne. "Le bonheur c'est tout ce qui arrive entre deux emmerdements" (J.B Lafond) Mais tant qu'on y crois, les emmerdements seront toujours plus doux. Et la distance un obstacle moindre. Il vaux mieux vivre son bonheur en sachant qu'il ne durera pas éternellement plutôt que de ne pas le vivre du tout. Sinon, on s'enferme dans une bulle trop réaliste et fade de sentiments. Le manque est une des choses qui nous font avancer et qui, sans lui, la vie serait bien trop facile.
